A proximité d’un PC ou plus éloigné en fonction des besoins et de la demande, le télé-pilote de drone se charge de diriger l’appareil jusqu’au site d’observation, et effectue les manœuvres demandées tout en respectant les règles de sécurité liées à l’utilisation de sa machine et à l'environnement

Pour des besoins spécifiques, et tout en travaillant de concert avec le télé-pilote, une 2eme télécommande peut être mise à disposition et manipulée par ‘’un cadreur ‘’pour examiner des points plus précis,

Le drone envoie instantanément et directement des images sur grand écran au PC via un récepteur 5.8ghz,

comme si tous les officiers du commandement étaient partis en hélicoptère 

Ce sont des images partagées. Le directeur des opérations de secours va prendre des décisions qu’il va certes assumer, mais qui seront enrichies de l’avis de ses collaborateurs présents autour de lui,  qui  auront vu les images du sinistre

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L’importance de cet outil, compte …

Pour les prises de décisions,

Pour le positionnement et au bon moment des moyens  de secours afin qu’ils soient le plus rapidement possible efficaces

Pour une meilleure coordination de tous les acteurs que ce soit les services d’incendie et de secours, les divers services spécialisés, les services médicaux, les forces de l’ordre,

Tous pourront travailler en toute collaboration et dans de bonnes conditions d’information

Que ce soit en feu de forêt ou de végétation (ci-dessus, quelques visions que peut offrir le drone)    

Le drone peut descendre au plus près du site à observer et brasse peu d’air lors de son déplacement comparé à un hélicoptère

Sur place, l’utilisation d’un drone fait gagner du temps grâce à une observation directe plus précise de l’environnement du sinistre sur grand écran et en temps réel.  Ceci complète  cartes ou photos satellite pas toujours actualisées.

Il peut survoler les flammes jusqu'à 150 mètres d'altitude (réglementation DGAC oblige).

Il peut fournir simultanément des informations partagées avec les différents acteurs de la chaine de commandement, sur le contour, le front,  la progression du feu et donc faire une évaluation exacte de la situation

A tous moment il permet de meilleures prises de décisions du commandement,  de déterminer plus précisément les besoins pour la coordination des effectifs, et potentiellement leur éviter de prendre des risques

                      => A la reconnaissance (soit à pied, soit en VLHR)

                      => Pour le personnel avec des retours de fumées ou de feux    

Grace à une surveillance accrue 

On pourra observer au plus près, le bon emplacement des véhicules,  la progression du personnel, tous les phénomènes liés à l’incendie, les biens, les personnes et les animaux à protéger, d’une manière réelle, sur un grand écran,  comme en avion avec moins de contrainte et bien plus de souplesse d’utilisation.      

Au-delà de la prévention et de la détection, cette  technologie peut aussi éviter un engagement humain sur une zone à risque (explosif, toxique, chimique, bactériologique …).

Partout où cela demande une vue périmétrique et même au-delà, rapidement mis en place, le drone se révèle l’outil indispensable.

Les images recueillies sur des sites difficilement accessibles pourront être intégrées au rapport d’intervention, et un expert d’assurance pourra les obtenir pour ces dossiers

Là aussi, la caméra thermique embarquée ( voir conditions), joue son rôle de contrôle des différents points chauds restants des décombres

Les sapeurs-pompiers de Paris réfléchissent  à l'utilisation des drones dans la lutte contre les incendies en zone urbaine

Que ce soit pour les accidents de la route, ferroviaires, fluviaux ou autres

Prendre des photos, des vidéos de l’environnement où s’est produit un choc violent.

Les images de cet appareil, trop rarement utilisé, apportent une dimension supplémentaire à la scène.

La vue aérienne rapprochée ou en altitude, permet aux différents services de secours et de force de l’ordre de pouvoir mieux se coordonner

Le premier rapport circonstanciel permet d’avoir une vue rapide de l’ensemble du sinistre,  facilitant ainsi la compréhension de l’origine.

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D'autres exemples d'utilisations

Route, Ferroviaire, Fluvial, Catastrophes et Autres...     

Contrôle de toitures difficilement accessibles,

survol de zones inondées, contrôle de digues ou encore

repérage et évaluation d’étendue de pollution.

Que ce soit pour la recherche de victimes ou d’animaux, en compléments de tout le dispositif  humain, cynophile, aérien,

le drone a lui aussi toute sa place dans ce type de recherche

SMO/GRIMP

 Aide à la localisation de victimes, voir leur état avant même de monter, préparer le parcours d’accès    

PLONGEURS avec le contrôle des rives, des berges d’un cours d’eau

Animaux égarés sur la voie publique ou en liberté, etc..

EN RESUME…

De nos jours, plusieurs secteurs d’activités ont compris l’intérêt qu’apporte ce nouvel outil précieux

L'Armée, Les Pompiers,  La Gendarmerie, Le cinéma, L’éolien, Le photovoltaïque, Le Bâtiment / Le génie civile, L’Industrie du pétrole, L’Agriculture

Le drone peut être utilisé au quotidien et conjointement avec d’autres matériels et d’autres services, dans tous les domaines possible du secours

Ses applications sont nombreuses et ses atouts sont :

Rapidité de mise en œuvre et souplesse d’utilisation

Aide à l’analyse et à la décision,

L’anticipation d’éventuelle évolution de situation

L’aide à la reconnaissance, à la surveillance

Potentiellement éviter de faire prendre des risques au personnel

Certaines machines peuvent transporter jusqu’à 10kg de petit matériel (à grande vitesse)

D’autres sont étanches, antidéflagrants et peuvent voler sous la pluie ou la neige (prix !)

D’autres servent selon le matériel embarqué aux analyses chimiques, détecter de la radioactivité etc…